Les astuces de Vincent, hypnothérapeute et psychopraticien à Morlaix

Avec une oreille attentive et une compassion sincère, je suis là pour vous accompagner dans la résolution de vos défis personnels et professionnels.

Percevoir les injonctions liées à la féminité

Un ennemi invisible

L’injonction de genre est quelque chose d’invisible, de si intégré en chacun de nous que nous n’arrivons souvent pas à la percevoir. Ainsi, nous acceptons comme un état de fait des situations, des comportements qui n’ont aucun rapport avec notre sexe biologique, mais qui sont tout simplement issus de la manière dont la société s’est construite, bien avant nous.

Une illusion d’optique

La domination masculine fait tellement partie de notre monde et de notre éducation que non seulement nous ne la voyons plus mais qu’elle nous paraît pratiquement normale. Comme si nous acceptions cette forme de servitude, que nous en étions décisionnaires. Comme si les injonctions n’étaient pas réelles. Alors qu’il suffirait de s’interroger pour prendre conscience de ce que nous subissons.

Dépoussiérer

Il faut remettre à plat intégralement la question du genre et l’interroger à la fois individuellement et collectivement. C’est à travers des démarches personnelles, mais aussi grâce à l’éducation, que nous pourrons construire une société plus égalitaire où chacun sera l’individu qu’il désire profondément être et où nous aurons tous les mêmes chances.

Extrait de : Se libérer des injonctions pour mieux vivre sa féminité paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO  Hors-série

S’ouvrir, se relier

Nous ouvrir

Partons à la découverte de ce qui nous entoure. C’est un état d’esprit à adopter. Il ouvre notre esprit et notre cœur.

Développons notre écoute

Devenons musicothérapeute et choisissons les musiques qui nous conviennent, pour nous relier, pour nous détendre ou tout simplement nous faire plaisir.

Sortons

Aérons-nous le plus possible. Sachons profiter de la beauté des paysages. Marchons rapidement pour nous sentir ouverts et reliés.

Extrait de : Lâcher prise pour maigrir – Se réconcilier avec son corps paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO Hors-série

Faire de l’hypersensibilité sa force première

L’hypersensibilité : un infini de possibilités

C’est à vous et rien qu’à vous de définir ce qui dans votre sensibilité et votre hyper émotivité fait de vous quelque chose de « plus ». Puis, dans un second temps, c’est trouver dans quels domaines, dans quelle pratique, il est bénéfique de le mettre à disposition, d’en faire quelque chose. Quitte à partir d’une petite qualité pour se découvrir un grand don.

Choisir son métier en fonction

Il n’y a pas de règle concernant le choix de son métier, mais il peut être intéressant de mettre ses atouts de l’hypersensibilité au profit du domaine dans lequel on travaille ; cela augmente la probabilité d’un épanouissement professionnel. Et il existe de nombreux domaines où les traits particuliers de l’hypersensibilité sont un atout.

Ne pas négliger la propension à s’extasier

A force de focaliser sur l’aspect négatif des émotions, on en oublie à quel point l’aspect positif porte la même puissance en elles. C’est alors à nous de faire la démarche de les reconnaître lorsqu’elles apparaissent, de prendre le temps d’aller les chercher, de ne jamais oublier que les moments d’exaltation contribuent à nous faire vivre.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors-série

Emotions, humeurs et sentiments

L’émotion : charge, tension, décharge

L’émotion est une réaction physiologique et affective, courte et passagère, à une stimulation extérieure clairement identifiée. Selon Isabelle Filliozat, l’émotion se décompose en trois temps : la charge – perception du stimulus et charge émotionnelle – la tension – mobilisation du corps pour une réaction appropriée – et, enfin, la décharge – expression de l’émotion pour un retour à l’équilibre.

Le sentiment : émotion et pensée

Les sentiments sont l’interprétation subjective de cette émotion : ils mêlent l’affect aux pensées qui s’y ajoutent. Beaucoup plus durables, ils s’inscrivent dans le temps et persistent en l’absence du stimulus ou de l’élément déclencheur. Parce qu’ils sont diffus, les sentiments peuvent occuper toute la place.

L’humeur : un état général léger

Contrairement à l’émotion, l’humeur s’installe progressivement, mais peut s’inscrire dans une courte durée. Elle peut être chargée d’émotions, puisque si je suis de mauvaise humeur, je risque de ressentir de la colère. Plus léger que le sentiment, l’humeur décrit un état général sans cause identifiée : elle n’est pas dirigée contre un objet ou une personne.

Extrait de : Apprendre à gérer ses émotions – Accueillir ce qui nous traverse paru dans PSYCHO et connaissance de soi Hors-série

Un système de pensée (cognitif) spécifique

Un arbre aux mille branches

Le terme « arborescent » explique à lui seul cette forme de pensée, qui consiste à partir d’un point central, puis à « lancer » une ramification d’idées, d’où partent encore d’autres ramifications d’idées, d’autres branches. Elle n’exclut pas une utilisation de la pensée linéaire, mais s’avère la structure première de nombre de hauts potentiels.

A la recherche de toutes les solutions

La pensée divergente est une autre conception de la pensée, en lien étroit avec la logique arborescente. Face à un problème ou à une question, plutôt que de chercher une réponse unique (comme l’école nous l’apprend), on cherche plusieurs réponses potentielles, souvent « originales ». C’est selon les chercheurs la base de la créativité.

L’intuition : sauter les étapes

L’intuition n’est pas un pouvoir de sorcière. Elle ne naît pas d’une capacité à connaître la réponse sans réfléchir, mais de ne pas avoir conscience du chemin emprunté pour arriver à une conclusion et ainsi, de ne pas pouvoir l’expliquer. Le phénomène découle souvent des spécificités de la pensée en arborescence et de la pensée divergente.

Extrait de : Adulte surdoué – Comprendre et utiliser son potentiel paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Besoin de succès pour raviver son estime de soi ?

Ceux qui en font trop et toujours plus

Les personnes qui en font trop et toujours plus peuvent chercher à surcompenser une fragile estime de soi par une confiance excessive en leurs capacités, une assurance à outrance. Leur image de soi oscille entre sentiment de toute-puissance et moments de dévalorisation. Or, l’estime de soi n’a rien à voir avec l’autopromotion ou l’autocélébration de soi !

Réussir pour s’estimer ?

Faut-il être au top pour s’estimer ? Heureusement, une bonne estime de soi peut se passer de ce type de preuves « externes » de sa valeur intrinsèque. Même si c’est bon pour le moral et flatteur pour l’ego, les succès ne peuvent gonfler l’estime de soi que temporairement et superficiellement. Rien ne vaut une bonne estime de soi stable !

En finir avec l’obsession narcissique de soi !

Certains ne se sentent importants que si on parle d’eux, si on envie leur réussite et s’ils se glorifient de leurs succès. Il suffit de penser au besoin ostentatoire de certaines célébrités d’étaler leur richesse extérieure pour montrer leur valeur. Pauvre estime de soi ! Et si on se sentait bien avec soi et fier de qui on est quoi qu’on fasse ?

Extrait de : L’estime de soi – Apprendre à avoir confiance en soi paru dans Dossiers pratiques de PSYCHOLOGIE Hors-série

Assumer son hypersensibilité

La honte, le pire ennemi de l’hypersensible

La honte régit beaucoup de nos comportements, en particulier quand on est « sensible » au regard des autres. Comprendre qu’il n’y a aucune honte ou culpabilité à ressentir fort, au contraire, est essentiel. Pour enfin combattre non pas la sensibilité, mais la façon dont elle est perçue par le monde et que nous avons intégrée malgré nous.

La force de la parole et de la compréhension

Pour éviter les malentendus et les jugements à l’emporte-pièce, la solution la plus évidente est d’expliquer à l’autre sont fonctionnement et ses spécificités. On ne peut pas partir du principe que l’autre sait et qu’il doit alors comprendre. Il faut forcément prendre le temps de mettre en lumière ce qui nous traverse, les déclencheurs comme les réactions internes.

Différent et fier de l’être

Ce n’est pas systématiquement à vous de vous adapter à la société et ce qu’elle définit comme étant la norme, c’est aussi à la société et aux personnes qui la composent d’accueillir la multiplicité incroyable d’êtres humains qui fait la richesse du monde. Arrêter d’essayer d’entrer systématiquement dans la case du normal est le premier pas vers l’acceptation de soi.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors-série

Les niveaux logiques de la PNL

Les six marches du changement

Le changement est un processus qui peut intervenir de façon isolée ou simultanée à six niveaux différents de l’être humain, qui sont l’environnement, le comportement, les capacités, les valeurs, l’identité et la spiritualité. Cette théorie permet de réfléchir sur le niveau sur lequel il faut influer en priorité pour améliorer une situation donnée.

Environnement, comportement et capacités

Notre environnement varie en fonction de nos actes, et nos actes varient en fonction de nos capacités. Un changement d’environnement est forcément moins important qu’un changement de comportement et encore moins important qu’un changement de capacités. A contrario, plus on a de compétences différentes, plus on aura de comportements possibles.

Des valeurs à la spiritualités

Les niveaux « spiritualités », « identités » et « valeurs » sont les trois niveaux logiques les plus élevés, dans l’ordre décroissant. Ces niveaux définissent principalement le sens que l’on donne à notre vie, la ou les « mission(s) » que l’on souhaite poursuivre, c’est-à-dire les motivations et les raisons qui nous font agir, travailler, aimer…

Extrait de : Découvrir le pouvoir de la PNL paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Les poids des injonctions liées à la masculinité… sur la femme

Les injonctions liées à la masculinité

Les injonctions à se comporter d’une certaine façon selon le genre touchent également les hommes qui doivent correspondre à une certaine image de la virilité, à un idéal masculin, sous peine d’être déconsidérés aux yeux des autres et à leurs propres yeux. Cela cause également de la souffrance et de la frustration chez beaucoup d’entre eux.

Des vases communicants

Le poids des injonctions qui pèse sur les hommes a des conséquences particulièrement lourdes sur les femmes. En effet, l’injonction à la virilité, la nécessité de ne pas paraître « féminin » conduit les hommes à exercer le pouvoir sur les femmes, à les dominer. Et cela bien entendu retombe sur les femmes qui doivent subir cette domination depuis la nuit des temps.

Un seul et même combat ?

C’est peut-être le combat contre le diktat du genre qui pourrait sortir les hommes et les femmes de leur rivalité et permettre de dépasser la domination masculine. Il faudrait qu’enfin la distinction homme-femme ne soit pas si radicale, pas si systématique, afin d’avancer tous ensemble vers une société plus apaisée où les différences ne seraient que biologiques.

Extrait de : Se libérer des injonctions pour mieux vivre sa féminité paru dans Dossier pratiques de PSYCHO Hors-série

Être

Respectons-nous

Être soi, c’est prêter attention à quin nous sommes pour nous permettre de nous accomplir.

Une vie harmonieuse

Être soi, c’est chercher à mener une vie en conformité avec notre nature, nos souhaits et nos valeurs.

Menons la vie qui nous correspond

Sachons reconnaître notre potentiel et l’utiliser dan sun projet qui fait sens

Extrait de : Lâcher prise pour maigrir – Se réconcilier avec son corps paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO Hors-série

Les émotions sont-elles universelles ?

Six émotions identiques dans l’humanité

Si les émotions sont multiples et variées, les chercheurs en ont identifié six principales : la joie, la tristesse, la colère, la peur, le dégoût et la surprise. Ces émotions de base sont universelles dans le ressenti, mais également dans leur expression. Nous sommes capables de reconnaître les mimiques faciales correspondant à chacune des émotions, quelle que soit notre culture.

Les émotions et leur expression ont un rôle primordial

L’universalité des émotions et des expressions spécifiques qui y sont liées ne doit rien au hasard. Elle nous permet de transmettre à autrui (même si l’on ne partage ni la langue ni la culture) des informations précieuses sur l’environnement, la nature de la relation, notre réaction, et d’ajuster notre propre comportement.

Nos émotions sont-elles inscrites dans le patrimoine génétique ?

Dans la lignée de la théorie de l’évolution, des chercheurs considèrent que les émotions se transmettent dans le patrimoine génétique parce qu’elles ont un rôle social fondamental. D’autres pensent que les sociétés humaines proposent un socle commun d’éducation qui permet l’émergence d’émotions identiques.

Extrait de : Apprendre à gérer ses émotions paru dans PSYCHO et connaissance de soi Hors-série

Hyperempathie : un rapport intense au monde et aux autres

Des signes à l’émotion

Percevoir avec une grande finesse les signaux, les détails, c’est aussi être capable de capter les émotions. Ainsi, les hauts potentiels font souvent preuve d’une hyperempathie, particulièrement exacerbée chez certains. Ce processus n’est cependant pas toujours conscient et le ressenti souvent intuitif. La personne sait ce que ressent l’autre, mais ne sait pas comment.

Ressentir « pour » l’autre

La conséquence de cette hypermepathie est le fait de ressentir à l’intérieur de soi l’émotion qui ne nous appartient pas. C’est le cœur du concept d’empathie, cela permet de se mettre à la place de l’autre, mais cela entraîne un envahissement certain quand le processus n’est pas régulé.

L’empathie : une force

Comme tout trait de caractère, comme toute capacité hors du commun, l’empathie peut être source de richesse, ouvrir des portes à des relations uniques, à un rapport au monde lucide et souvent bienveillant. Le plus important est de ne pas se laisser envahir par les personnes toxiques et réguler cette tendance, l’équilibrer pour en faire un atout.

Extrait de : Adulte surdoué – Comprendre et utiliser son potentiel paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Etre hypersensible dans ses relations personnelles : problèmes et solutions

Hypersensible dans toutes nos relations

Etre hypersensible peut poser problème dans toutes les formes de relations. Encore une fois, il s’agit de trouver un équilibre entre se protéger et s’ouvrir aux autres. Dans tous les cas, rien n’est possible sans communication, et lorsque c’est possible, un choix drastique doit se faire pour n’être entouré que de gens bienveillants.

Construire un couple avec son hypersensibilité

Un couple se construit sur la longueur et ne cesse d’avoir besoin d’efforts pour perdurer. Le point principal étant ici une communication honnête et à deux sens, pour que l’autre nous comprenne et aime qui l’on est vraiment. Aussi, il faut se rappeler que c’est cet autre-là qui nous porte le plus et savoir alors l’épargner de temps en temps.

Trouver la bonne distance avec sa famille

On ne choisit pas notre famille. Partant de là, il est primordial que l’hypersensible se place avec une distance juste face à ce qui peut devenir un poids conséquent. Si l’on ne peut pas abandonner sa famille, on peut apprendre à ne pas la porter, à ne pas tout donner. Car nous nous devons d’être aimants, mais nous n’en sommes pas responsables.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors-série

Le plaisir d’être bien avec les autres !

A la base de relations enrichissantes

Même si l’estime de soi est une force intérieure, elle irradie sur les relations humaines. Lorsqu’on a une bonne estime de soi, on dégage plus d’énergie, on affiche plus d’assurance, on se présente à son avantage, on rit plus, on se sent mieux. Résultat : l’estime de soi génère des relations harmonieuses et stimulantes qui, en retour, consolident la confiance en soi.

A la base du désir d’action

Quand on croit suffisamment en soi, on peut oser espérer une existence à son image. Dès qu’on ose on à l’élan, l’énergie et la volonté de se lancer dans l’action. Et lorsqu’on agit avec conviction, on persévère. L’estime de soi est ce tremplin qui permet d’oser entreprendre sans craindre des bleus à l’âme et à l’orgueil. Il est le moteur de l’action.

A la base de l’affirmation de soi

Lorsqu’on est intimement convaincu de sa valeur personnelle comme personne à la fois unique et égale aux autres, on tend naturellement à assumer ses besoins, ses désirs et ses attentes. La volonté de satisfaire ses besoins pousse à les exprimer. L’expression de sa volonté, dans le respect des autres, s’appelle l’affirmations de soi. S’affirmer, c’est aussi s’estimer.

Extrait de : L’estime de soi apprendre à avoir confiance en soi paru dans Dossiers pratiques de psychologie Hors-série

Un phénomène qui commence dès la naissance

C’est majoritairement l’éducation qui fait le genre

Ce qui fait la fille ou le garçon, ce n’est pas tant le sexe avec lequel l’enfant est né, mais plutôt le fait qu’il soit né fille ou garçon dans l’esprit des adultes qui s’en occupent. Les différences d’éducation sont parfois subtiles. Inconscientes, mais elles sont bien présentes. Et les comportements de l’enfant évoluent en fonction, devenant alors ce qu’on attend de la petite fille ou du petit garçon.

Des goûts et des envies prédéfinis

Le cliché de la petite fille sage habillé tout de rose qui joue à la poupée a de beaux jours devant lui. Le problème est que les idées préconçues sur ce qu’aime la petite fill sont si ancrées, que cette dernière est enfermée dans un tableau peint par d’autres avant elle. Peut-être que si on lui laissait la liberté de choisir vraiment, elle aimerait le rugby, les sciences, les bêtises et voudrait devenir pilote de formule 1.

On apprend le genre à l’école

Comme toute institution prise dans une société donnée, l’école participe à faire perdurer les clichés et les injonctions. L’évolution est lente, et encore aujourd’hui il existe le danger que le petit garçon et la petite fille soient prisonniers de ce qu’on attend d’eux ; à savoir être turbulent et bruyant pour le premier, sage et docile pour la seconde.

Extrait de : Se libérer des injonctions pour mieux vivre sa féminité paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO Hors-série

Les déséquilibres des injonctions entre l’homme et la femme

Différents sens pour un même terme

Le terme « injonction » peut s’employer dans son sens légal (l’injonction officielle et écrite d’un juge ou de la personne portant la loi) ou dans son acceptation plus large. Ici, en abordant la question des injonctions liées à la féminité, on et dans le champ de l’injonction sociale présente partout et nulle part à la fois, portée souvent inconsciemment par tous et non pas dictée par une seule personne.

Une différence de liberté entre l’homme et la femme

Essayer de définir qui subit le plus d’injonctions entre l’homme et la femme est impossible, du moins pas de manière purement quantitative. En revanche, depuis la nuit des temps, on remarque que l’homme jouit d’une liberté plus grande dans la construction de son identité et de sa vie. Ne pas être parfait, être à un poste de pouvoir, choisir une carrière de saltimbanque, être mince ou gros… Le champ des possibles est plus large.

De la domination à l’injonction

Nous sommes depuis toujours et encore aujourd’hui dans une société majoritairement dominée par les hommes. De fait, les discours sur ce que « devraient être ou ne pas être » les choses sont des discours masculins, ce que « devrait être » la femme y compris. Ainsi, les injonctions liées à la féminité et la domination masculine sont deux phénomènes intrinsèquement liés l’un à l’autre.

Extrait de : Se libérer des injonctions pour mieux vivre sa féminité paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO Hors-série

L’injonction au genre

Sexe biologique vs genre social : c’est quoi la différence ?

Il faut distinguer le sexe, qui est le corps biologique, les attributs sexuels avec lesquels nous sommes nés, du genre, qui est une construction sociale ancienne, tellement ancrée qu’on en vient à la penser naturelle. Il nous faudrait sûrement interroger le genre et avoir cette distinction toujours à l’esprit pour pouvoir la dépasser.

Une nouvelle conception

Les nouvelles générations, nées au début des années 2000, tentent de changer la donne, refusant les différents stéréotypes des genres masculin et féminin et tâchant de créer des ponts entre les deux. Les jeunes cherchent à inventer quelque chose de nouveau, une nouvelle façon d’habiter leur corps en ne se pliant pas aux injonctions qui ont toujours prévalu.

On ne sort pas de sa case

Le genre est une construction qui nous est imposée dès la naissance et même avant. Il suppose des comportements différents, considérés après coup comme naturels pour les hommes et les femmes Cette manière de distinguer le genre humain en deux blocs distincts a créé des inégalités criantes, permis la mise en place ce la domination d’un genre sur l’autre

Extrait de : Se libérer des injonctions pour mieux vivre sa féminité paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO Hors-série

L’importance des feed-back

L’homme au coeur de plusieurs systèmes

L’homme peut en effet être considéré comme un système interagissant avec d’autres systèmes. Cela signifie que tout ce que nous faisons a forcément une incidence sur les autres, même quand nous ne faisons rien, car tous les systèmes sont interdépendants, connectés. C’est cette incidence qu’il faut observer si l’on veut améliorer notre communication.

Intentions et impact

Le feed-back que l’interlocuteur nous renvois nous permet en effet de voir comment notre message a été compris, et comment l’autre y a réagi. Cela nous permet notamment de juger de l’impact de notre communication sur l’autre, et de pouvoir ajuster notre message si besoin, en décodant au mieux le modèle du monde développé par notre interlocuteur.

Faire une boucle positive

Ainsi, quand on communique, il importe de bien observer les réactions de l’autre, pour pouvoir les « calibrer » correctement. Cela nous permettra dans un deuxième temps de nous synchroniser avec l’autre, c’est-à-dire de nous mettre à sa portée, afin de créer de meilleurs rapports. Et cela, in fine, peut nous permettre de l’influencer favorablement.

Extrait de : Découvrir le pouvoir de la PNL paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Avoir le courage

Cessons de nous lamenter

Il peut nous arriver de nous apitoyer sur nous-mêmes : la vie est décidément trop difficile. Comment y arriverons-nous ? Qu’avons-nous fait pour subir autant ? Nous pouvons passer notre vie à nous plaindre mais ne vaudrait-il pas mieux changer notre attitude ? Prenons notre vie en main et assumons ce qui nous arrive. Prenons les décisions nécessaires pour obtenir le meilleur.

Arrêtons de réclamer de l’aide

Nous entretenons des dépendances à demander de l’aide aux autres alors que nous pouvons très bien agir seuls, en êtres responsables. Montrons-nous à la hauteur de la situation. Il ne sert à rien de croire que nous avons besoin des autres pour surmonter un évènement. Ce qui risque d’arriver, c’est de nous sentir de plus en plus faibles et dépendants. Nous avons la capacité d’assumer ce qui nous arrive. Cessons de nous montrer terrifiés par la vie.

Laissons tomber la monotonie

Il n’y a rien de plus déprimant qu’une vie dont les jours se ressemblent. Ouvrons-nous, cherchons ce qui peut nous enthousiasmer, transformons notre quotidien. Ne nous laissons plus endormir par une vie sans encombre, figée par la crainte. Réveillons-nous. Soyons nous-mêmes.

Extrait de : Lâcher-prise pour maigrir – se réconcilier avec son corps paru dans Dossiers pratiques de PSYCHO Hors-série

A qui servent les émotions ?

Les émotions : un bouclier face au danger

Les émotions ont un rôle essentiel : assurer notre survie en nous protégeant du danger. En effet, lorsque l’on ressent de la peur, notre corps se prépare à l’action afin de réagir à la menace. La théorie de la fuite ou du combat montre comment nos réactions physiques en situation de stress ont pour fonction de mobiliser le corps pour apporter une réponse comportementale adéquate.

Sans émotions, pas de motivation

L’émotion est à l’origine de notre énergie vitale. Sans désir, excitation ou joie, il n’y a pas d’action. Nous entreprenons des projets parce que nous éprouvons des émotions qui nous y incitent. Les émotions interfèrent dans la prise de décision, les plus importantes comme les plus anodines. Ecouter son ressenti intérieur aide à comprendre ce qui nous anime profondément.

Les émotions au cœur du lien social

Les émotions nous permettent de communiquer avec les autres et de les comprendre, grâce notamment à la puissance de l’empathie, c’est-à-dire la capacité de ressentir ce que l’autre éprouve sans avoir besoin de le vivre. Un ensemble de signes non verbaux, qui traduisent des émotions, nous donne de précieuses informations dans nos relations sociales

Extrait de : Apprendre à gérer ses émotions – Accueillir ce qui nous traverse paru dans PSYCHO et connaissance de soi Hors-série

Hypersensibilité : le point clé du haut potentiel

Un monde amplifié

Le point de départ de l’hypersensibilité n’est pas « l’émotion », mais le phénomène (neurologique) qui consiste à capter les stimuli extérieurs avec plus de finesse et plus d’intensité. Tous les sens peuvent être touchés, mais tous ne sont pas forcément surdéveloppés. Et c’est de là que découle une propension à ressentir « plus fort » le monde environnant.

Un trop-plein constant

La plupart des hauts potentiels utilisent le terme « envahissement » pour décrire leur vécu intérieur. Les éléments perçus par leurs sens deviennent effectivement envahissants à force de ne pas être filtrés : les émotions débordent. C’est un des points centraux de la difficulté à vivre de certains hauts potentiels.

Jusqu’à l’extase

Bien heureusement, ce ne sont pas seulement les sensations et émotions négatives qui sont amplifiées mais bien aussi les positives. Cela offre à la personne HP des instants de grâce, une disponibilité à la contemplation ; des ressentis en dents de scie, certes, mais pouvant toucher des sommets.

Extrait de : Adulte surdoué- – Comprendre et utiliser son potentiel paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Introvertie, extravertie : deux types de personnalités possibles

L’hypersensible introverti

Le réflexe le plus commun face à une arrivée trop fréquente et trop intense d’émotions, c’est de s’en protéger. Etre réservé et solitaire est très commun chez l’hypersensible, et tout à fait légitime. Le risque est un enfermement trop sévère, voire un effacement de soi qui empêche l’enrichissement personnel et le « vivre-ensemble ».

L’hypersensible extraverti

Face à un trop-plein émotionnel, une autre façon de composer est de trouver un maximum d’espaces pour s’exprimer, pour se « vider ». Sauf qu’à trop courir, on peut s’exténuer, or l’hypersensible reste un être à vif qui doit trouver des moyens de se préserver par moments, pour mieux repartir et affronter le monde, le lendemain.

Eviter les extrêmes

Ce conseil vaut pour tout le monde mais peut-être plus encore pour les hypersensibles. Aucune façon d’être au monde n’est valide si elle tombe dans les extrêmes. Equilibrer son rapport à l’autre et au monde social en général reste la meilleure façon de gérer son hypersensibilité, c’est-à-dire trouver autant d’abris que d’espace pour exister.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors-série

Le bonheur d’être soi, tout simplement !

Se sentir aimable

S’estimer, c’est aimer qui nous sommes. Apprendre à s’aimer et à s’accepter tel que l’on est, sans être obsédé par soi et sans se négliger, est indispensable à l’estime de soi. L’estime de soi, sur le socle de l’amour de soi, ne s’attribue pas au rendement et n’augmente pas au mérite. Il est inconditionnel. Etre heureux d’être soi, c’est déjà pas mal !

Se sentir valable

S’estimer, c’est savoir ce que nous voulons. Apprendre à connaître ses besoins, ses désirs et ses opinions est le premier pas pour les faire reconnaître sans sentiment d’anxiété et de doute. Ne s’estime-t-on pas davantage quand on se fait le cadeau d’être bien dans ses choix et bon pour soi ? S’accueillir, sans se juger, est un geste d’estime envers soi !

Se sentir capable

S’estimer, c’est avoir confiance en ce que nous pouvons faire. Apprendre à se fier en ses croyances et en ses capacités donne l’élan nécessaire à l’action et à l’affirmation de soi. Il faut une bonne estime de soi pour oser exprimer ses désirs et ses besoins. Il en faut autant pour agir selon ses désirs et ses croyances ! Vivre sa vie est un indice de bonheur !

Extrait de : L’estime de soi – Apprendre à avoir confiance en soi paru dans Dossiers pratiques de psychologie

La réalité filtrée

La carte n’est pas le territoire

Chacun croit avoir une bonne idée de la « réalité », par rapport à ce qu’il « sait » de sa vie et de celle des gens qui l’entourent. Mais cette réalité est imparfaite, tronquée, filtrée. En d’autres termes, elle est personnelle et propre à chacun. La même réalité est donc vécue de façon différente selon les gens et leur mode de fonctionnement.

Des filtres personnels et individuels

Chacun a un parcours différent des autres, même au sein de la même famille. Ainsi, la même expérience peut être vécue différemment selon ce que l’on a vécu précédemment, car c’est le passé qui va, entre autres, conditionner notre façon de réagir, de penser et de communiquer, C’est ce qui fait que l’on est si différent de son frère ou de sa sœur.

Des filtres liés à la culture de chacun

La culture dans laquelle on baigne depuis notre plus tendre enfance influence évidemment notre vie et le regard que l’on porte sur elle et le monde. Ce que nous croyons est fortement influencé par ce que nous vivons et voyons au quotidien, mais aussi par ce que nous disons et entendons. Le langage fait partie intégrante de ces filtres culturels

Extrait de : Découvrir le pouvoir de la PNL paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Qui a besoin de lâcher prise ? Portrait-robot

Que sont les pensées parasites ?

Ce sont les ennemis du lâcher-prise, les pensées contre lesquelles nous luttons quand nous ne lâchons pas prise. Par rapport au passé, ce sont les regrets qui nous empêchent de profiter pleinement du moment présent. Par rapport au présent, c’est souvent la colère ou la jalousie. Par rapport au futur, c’est le désir d’atteindre un objectif inaccessible.

D’où proviennent ces pensées parasites ?

Ce sont des modèles de perfection que crée notre société (ainsi selon laquelle une femme accomplie doit être une bonne ménagère, une idée certes ancienne, mais qui illustre bien le genre de pression assez absurde que chacun peut infliger). Chaque personne y est plus ou moins sensible et est plus ou moins influencée par ces pensées parasites.

Nous sommes tous concernés par le lâcher-prise

Chacun de nous peut trouver comment rendre sa vie meilleure, plus sereine et plus agréable. Faire toujours mieux … En effet, nous avons tous de petits ou de grands regrets, des sujets de colère ou d’angoisse récurrents, des obsessions, pas forcément importantes, mais qui nous empêchent de vivre notre vie exactement comme nous l’entendons.

Extrait de : Lâcher prise pour maigrir – Se réconcilier avec son corps paru dans Dossiers pratiques PSYCHO Hors Série

L’hypersensibilité : tout ce que ça n’est pas

Etre hypersensible face au monde

Une des plus grandes difficultés rencontrées par les hypersensibles est le regard empli de jugement porté sur eux. Les clichés, raccourcis et autres stéréotypes sur le sujet sont encore très présents dans la société et attaquent l’estime de soi des personnes concernées. Se protéger de ce regard médisant est un des premiers pas vers l’acceptation de soi.

Ne pas confondre pathologie et conséquence d’une personnalité

L’hypersensibilité n’est ni un défaut ni une maladie. Elle est structurelle du Moi. De ce fait, il ne s’agit pas de s’en défaire, mais d’amoindrir les conséquences négatives qu’elle a sur son quotidien, ses relations, sa construction. L’hypersensible est un humain comme un autre qui doit faire avec les cartes qu’il a, et certaines sont des atouts inestimables.

Hypersensible, une question qui dépasse celle du genre

Ressentir est propre à l’humain quel que soit son genre ; il en va de même pour l’excès des émotions. Malheureusement, la sensibilité est associée à un trait féminin, et pas toujours pour le meilleur. Combattre les stéréotypes est essentiel pour se regarder sans œillère et percevoir à quel point c’est la force qui en est le cœur et non la faiblesse.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors-série

Pourquoi ressent-on ?

Un stimulus extérieur nécessaire à l’émotion

Pour que surgisse une émotion, il faut un évènement déclencheur. Il s’agit d’un stimuli sensoriel ou cognitif qui induit une réaction corporelle et psychique. Le cerveau procède alors à une évaluation très rapide à la fois cognitive et affective.

Une évaluation en fonction des intérêts vitaux.

Lorsque survient un élément déclencheur, le cerveau analyse très rapidement la nature de la situation nouvelle en fonction de différents critères et, avant tout, des intérêts vitaux de l’individu. Ainsi, un bruit soudain provoque la peur et permet au corps de se mettre en action.

Une évaluation en fonction des intérêts personnels

Tout le monde ne réagit pas de la même manière ni avec la même intensité à un même stimulus. Nous éprouvons des émotions différentes et dans das circonstances variées selon notre histoire personnelle, nos souvenirs, notre personnalité, ou encore notre humeur du moment. La madeleine de Proust en lui évoquant un souvenir cher et passé ne provoquera sans doute aucune émotion si vous n’avez aucune histoire particulière avec ce biscuit…

Extrait de : Apprendre à gérer ses émotions, accueillir ce qui nous traverse paru dans PSYCHO et connaissance de soi HORS-SERIE

Un diagnostic nécessaire ?

Tester l’intelligence : un but impossible à atteindre

De tous les tests standardisés, celui du quotient intellectuel est parmi les plus poussés, les plus subtils. Cela étant dit, l’humain n’est pas une machine, il ne rentre pas dans les cases, encore moins quand il s’agit de son fonctionnement intellectuel. Ainsi, même les chiffres associés à la douance sont à prendre avec précaution.

Regarder la personne et non le chiffre

Tout le monde s’accorde sur un point aujourd’hui : le haut potentiel n’est pas qu’affaire d’intelligence et même celle-ci est si multiple qu’elle ne peut pas toujours se chiffrer. La démarche de diagnostiquer la douance est subtile et demande un vrai travail « clinique », une prise en considération du vécu de la personne, pas seulement des chiffres obtenus.

Passer le test pour les bonnes raisons

Si certains ne jurent que par le WISC (Wechsler Intelligence Scale for Children) et le WAIS (Wechsler Adult Intelligence Scale), d’autres vont jusqu’à dire que le test de QI n’a aucune valeur dans le cas des hauts potentiels. Peut-être faut-il surtout chercher à faire le test pour les bonnes raisons. Car ce qu’il a à offrir, ce n’est pas un « diplôme », mais un regard sur sa propre intelligence. Et dans certains cas, le fait de se savoir « HP » ouvre la porte à un chemin nouveau, une reconstruction

Extrait de : Adulte, Surdoué Comprendre et utiliser son potentiel paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Les signes sensibles d’une estime défaillante

L’envie, cette impasse

Il y a une urgence à restaurer votre estime si l’envie vous pousse à copier un modèle de popularité plutôt qu’à suivre vos propres aspirations. L’envie est ce sentiment qui conduit à vouloir ce que l’autre a jusqu’à le lui retirer ou le détruire. Ce sentiment avide et destructeur nuit autant aux autres qu’à soi-même, car rien ne se construit sur l’envie !

Le mimétisme, cette pâle copie

Le désir d’être un modèle pour les autres ou de prendre modèle sur les autres traduit une difficulté à « être », simplement. Le mimétisme n’a d’égal que le mésestime de soi-même. Quelle que soit la valeur accordée à l’appartenance à un groupe, cela ne peut remplacer la valeur qu’on s’accorde à soi-même. Osez valoriser votre authenticité personnelle !

Le conformisme, cet oubli de soi

La tendance à se conformer conduit au comportement de « suiveur ». Or, le fait d’entrer dans le moule des désirs de ses parents, des attentes de son conjoint ou des injonctions sociales ne procure qu’un faux sentiment de sécurité. La vraie sécurité intérieure provient de la conscience de soi et de la confiance en sa valeur. Devenez votre propre modèle !

Extrait de : L’estime de soi – Apprendre à avoir confiance en soi paru dans Dossiers pratiques de PSYCHOLOGIE

Les principaux postulats de la PNL

On fait ce qu’on peut

Cette phrase, on l’a tous dite au moins une fois dans notre vie. Et pour cause ! Elle traduit un concept important en PNL : dans chaque situation, les décisions que l’on prend sont conditionnées par notre modèle du monde et de soi, et sont les « meilleures » à prendre quand on considère les informations et les ressources disponibles à ce moment-là.

Objectif positif, actes malheureux

Un autre postulat important de la PNL est que nous sommes tous animés d’intentions positives à l’origine de tous nos actes conscients et réfléchis. Ainsi, il est vraiment rare que nous fassions délibérément du mal à autrui. Simplement, nous ne maîtrisons pas l’impact de tous nos actes. Comprendre cela est notamment utile pour régler un conflit.

Avoir le choix de son comportement

Nos actes sont donc le résultat de biais de perception et d’interprétation, qui nous donnent l’impression de ne pas avoir le choix face à une situation. Le but de la PNL est d’ouvrir nos perspectives, et de faire en sorte que nous soyons plus flexibles. Quand on a le choix entre plusieurs comportements, on prend celui qui nous semble le meilleur.

Extrait de : Découvrir le pouvoir de la PNL paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors Série

Le cercle vertueux du lâcher-prise

Le lâcher-prise, un état d’esprit qui s’acquiert

Avec quelques expériences sur sa propre existence, on peut faire du lâcher-prise un état d’esprit qui s’étend à toute notre vie si nous le laissons faire. L’important étant de trouver les « pivots » de ce lâcher-prise, c’est-à-dire les éléments stratégiques à modifier, du plus anodin au plus grave, du plus léger en apparence au plus déterminant.

L’important du focus, concentration et patience

Si cette impulsion de départ a son importance, il est nécessaire d’effectuer un vrai travail sur soi pour obtenir la plus grande concentration possible. Effectuer une tâche après l’autre est bien plus gratifiant que de vouloir, selon des préceptes hasardeux, assumer tous les problèmes de front. En effet, on en retirera satisfaction et enseignement.

Utiliser le focus pour trouver du sens à sa vie

Cette concentration que nécessite le lâcher-prise participe également à la recherche de l’essentiel. Ne pas s’égarer dans des problèmes annexes, chercher avec sagesse du sens à chaque chose que l’on fait sans s’éparpiller, le lâcher-prise est fait de tout cela. Il permet de cultiver l’essentiel, de s’y consacrer pleinement, avec toute son énergie.

Extrait de : Lâcher prise pour maigrir – Se réconcilier avec son corps paru dans Dossiers pratiques PSYCHO Hors Série

L’hypersensibilité émotionnelle

De l’émotion qui entre à l’émotion qui sort

Le cheminement de l’émotion doit être pris en considération sous trois angles : le déclencheur, le ressenti émotionnel et l’expression de cette émotion. Les trois ne sont pas toujours liés entre eux de la même manière et doivent être abordés séparément pour mieux comprendre le phénomène et ne pas se focaliser sur la façon dont nous ressentons.

Tout un panel d’émotions touché par l’hypersensibilité

Il n’y a bien évidemment pas que les émotions positives que sont exacerbées par l’hypersensibilité, mais il n’y a pas que les négatives non plus. Accueillir les premières et maîtriser les secondes est un bon début, mais il est aussi normal que, parfois, le sentiment même de « ressentir trop » fatigue et devienne difficile à vivre.

Etre empathe, atout ou tannée ?

Percevoir avec plus d’intensité et de finesse le monde (les stimuli, les émotions, etc.) fait de tous les hypersensibles des êtres émotionnellement empathiques. Compassion, compréhension de l’autres, générosité humaine constituent une force, mais celle-ci peut devenir une faiblesse si elle n’est pas « maîtrisée » et que la personne se noie dans les émotions des autres.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors Série

Les émotions, nos premières réactions face au monde

Un monde de sensations et d’émotions

Lorsque l’enfant vient au monde, il découvre de multiples et incessantes informations sensorielles qui sont inédites. Parce qu’il n’a aucun repère, aucun outil pour le décrypter, ces stimulations externes provoquent autant d’émotions nouvelles. L’enfant perçoit le monde par ses sens et éveil et le traduit en émotions.

Les émotions, une porte vers le monde intérieur

L’enfant perçoit ses premiers besoins corporels par des sensations vagues et diffuses, agréables ou désagréables. La faim, la soif, le froid ou le chaud sont des éléments déclencheurs qui provoquent des émotions. En les exprimant – par les pleurs, notamment – le nourrisson communique avec son environnement afin de satisfaire ses besoins.

Les émotions nous parlent !

Même si en grandissant, nous nous forgeons de nombreux outils pour comprendre le monde, nous sommes tous, et ce, depuis notre naissance, confrontés à des émotions qui parfois nous submergent, sans que l’on puisse toujours les dompter. Parce qu’elles sont spontanées et involontaires, elles sont plus rapides que notre raison. Ces émotions sont signifiantes : elles nous alertent d’un danger ou nous interrogent sur ce qui nous anime profondément.

Extrait de : Apprendre à gérer ses émotions – Accueillir ce qui nous traverse paru dans PSYCHO et connaissance de soi Hors Série

Haut potentiel : ce que ça n’est pas

Mozart n’est pas représentatif du HP

Le stéréotype le plus fréquent est celui de la personne capable de prouesse extraordinaires dans un domaine particulier. Il ne s’agit que de la partie émergée de l’iceberg, celle dont on se souvient car elle regroupe les grands noms de la science et des arts, ou celle représentée dans la culture et donc dans l’imaginaire collectif. Sauf que c’est réduire le tout à ses extrêmes.

Personne n’a des capacités surdéveloppées dans tous les domaines

Une personne au potentiel remarquable n’est pas capable de tout faire et de tout réussir. Comme tout être humain, elle a ses points forts et ses points faibles, elle cultive certaines de ses capacités, d’autres moins, voire, n’en cultive aucune. Le test du WAIS est d’ailleurs avant tout une façon de définir les types d’intelligence d’une personne donnée, plus que son intelligence globale.

Quand être doué mène à l’échec

Même si cela paraît surprenant, les chiffres le prouvent : une personne à haut potentiel a plus de risques de prendre un chemin tortueux, qui parfois mène à des impasses. Les raisons à cela sont multiples et majoritairement dues au parcours de chacun, à environnement et à la tout aussi étonnante grande quantité d’échecs scolaires chez les enfants précoces.

Extrait de : Adulte, Surdoué Comprendre et utiliser son potentiel paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors-série

Pourquoi choisir la simplicité ?

Alléger son mental

En nous détachant de nos biens matériels, nous libérons notre espace de vie et soulageons notre mental de nos pensées nuisibles, nous nous sentons allégés, plus disponibles pour les autres. Notre conscience s’aiguise et nous comprenons ce qui est essentiel pour mener une vie qui nous correspond. La simplicité est la voie qui mène au bonheur.

Un effet libérateur

La simplicité conduit à davantage de liberté. Nous sommes ouverts et prêts à accueillir tout ce qui peut se présenter. Nous avons de la place pour faire entrer la nouveauté. Détachons-nous du matériel, nous aurons ainsi moins peur d’en être privé. Adonnons-nous à des activités qui nous comblent et nous enrichissent. Nous apprenons ainsi à nous connaître.

Le chemin de la spiritualité

La simplicité permet de nous recentrer et de savoir ce que nous souhaitons vraiment et ce qui est véritablement important. Elle nous conduit vers notre sagesse intérieure. Nous pouvons ainsi goûter à la quiétude de notre profondeur et développer notre spiritualité. Plus nous nous approchons de notre vérité profonde, plus nous donnons du sens à notre vie.

Extrait de : Simplifier sa vie – Eliminer le superflu et se recentrer sur l’essentiel paru dans PSYCHO Conseils Pratiques Hors Série

Qu’est-ce que l’estime de soi ?

Avoir une bonne image de soi

Vous ne voyez que vos défauts ? A chaque nouveau défi, vous craignez de ne pas être à la hauteur ? Vous montez en épingle le moindre commentaire critique ? Vous vous découragez de séduire cet inconnu(e) avant même de lui avoir parlé(e) ? Vous connaissez régulièrement des épisodes de susceptibilité ? Et si le fond du problème était une estime personnelle en berne ?

S’évaluer à sa juste valeur

Bien estimer, c’est savoir s’évaluer à sa juste valeur en connaissance de toutes ses qualités et de ses (petits) défauts. C’est faire preuve d’autocritique sans tomber dans l’autodénigrement (s’attribuer tous les torts) ou l’autopromotion (rejeter la faute sur autrui). La confiance en soi permet d’affronter les difficultés sans les grossir ou les éviter.

S’accepter au plus profond de soi

Mais surtout, s’estimer réellement équivaut aussi à s’accepter au plus profond de soi-même, en étant intimement convaincu de sa propre valeur, dans l’amour de soi sans amour-propre, dans l’acceptation de ce qui nous rend unique, égal et différent des autres. Etsi c’était là, au fond, le plus beau cadeau que l’on puisse se faire : devenir son meilleur ami !

Extrait de : L’estime de soi – Apprendre à avoir confiance en soi paru dans Dossiers pratiques de PSYCHOLOGIE

La PNL, une approche pluridisciplinaire

PNL pour programmation neuro-linguistique

La PNL est issue de l’association de différents domaines d’expertise : la psychologie, la cybernétique, la linguistique, entre autres disciplines. C’est une science qui permet de décrypter et comprendre le fonctionnement de l’être humain, à travers le prisme de toutes ces autres sciences, et qui a pour but de nous permettre d’améliorer notre vie.

Autant de buts que d’êtres humains

Mais « améliorer notre vie » est un objectif qui résonne différemment en chacun de nous. Ce peut être mieux comprendre notre entourage, améliorer ses qualités relationnelles, augmenter se confiance en soi … La PNL se propose de mettre en place des stratégies que l’on pourra dupliquer facilement et à volonté afin de réussir dans tous ces domaines.

Des théories… pratiques !

Pour remplir ce noble objectif, la PNL se devait donc d’amener non seulement des concepts faciles à assimiler, mais aussi des idées pratiques à appliquer. Evidemment, il faut pour cela avoir compris un certain nombre de notions, mais celles-ci vous paraîtront sûrement évidentes, car toujours attachées, connectées à la réalité que vous vivez.

Extrait de : Découvrir le pouvoir de la PNL paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors Série

Les principes du lâcher-prise

Accepter, c’est recevoir

Acceptons le changement. Au lieu de se bloquer sur un évènement indésirable, et donc de le refuser, il est préférable de l’accueillir. D’une part, nous ne gaspillons plus notre énergie, et d’autre part, nous ouvrons un espace pour que les choses s’enchaînent de manière fluide.

Le calme accompagne l’acceptation

Pour vous rendre compte si vous avez vraiment accepté tel ou tel événement, observez si vous ressentez une sérénité. Généralement, l’apaisement voire le soulagement font partie intégrante du processus d’acceptation. C’est donc très agréable.

Soyons indulgents avec nous-mêmes : acceptons nos limites

Ne soyez pas trop exigeant avec vous-mêmes. Soyez réaliste et bienveillant avec votre propre personne. Vous ne pouvez pas tout faire. Ouvrez-vous aux résultats au lieu de vous acharner à en obtenir. De plus, en reconnaissant nos propres limites, il devient plus facile d’accepter celles des autres.

Extrait de : Lâcher prise pour maigrir – Se réconcilier avec son corps paru dans Dossiers pratiques PSYCHO Hors Série

Des perceptions sensorielles aux émotions

Un monde que l’on perçoit

L’hypersensibilité ne doit pas être résumée à une hyper émotionalité. Elle est aussi couplée avec une sur-perception des stimuli par nos cinq sens. On peut même émettre l’hypothèse que le fait d’être littéralement envahi par ce que nos sens captent (vue, ouïe, toucher, etc.) est une des sources premières des réactions émotionnelles internes trop intenses.

Un monde que l’on ressent

Nous sommes un agencement complexe de biologie et de psychisme ; définir une cause unique à l’émotion ou à la façon dont on la perçoit est quasi impossible. Ainsi, il faut se déculpabiliser en comprenant que la façon dont l’hypersensible « ressent le monde » n’est pas imputable qu’à lui-même ou à une explication unique et raccourcie.

Un raz de marée qui nous dépasse

Concernant ce qui est perçu par les sens ou ce qui est ressenti à l’intérieur de soi, le sentiment commun à tous les hypersensibles est une impression d’envahissement. Ce ressenti est en fait commun à tous les êtres humains, car nous ne contrôlons pas le jaillissement de l’émotion, il est cependant renforcé dans le cas d’une hypersensibilité.

Extrait de : Lâcher prise quand on est hypersensible paru dans PSYCHO et développement personnel Hors Série

Qu’est-ce que ressentir : les différentes composantes de l’émotion

L’émotion : objet de fascination depuis toujours

Toutes les disciplines se sont intéressées à l’émotion pour lui donner une définition, la comprendre et mesurer ses effets sur l’homme, mais plus encore pour tenter de mettre à jour ses nombreux mystères. Or l’émotion est un phénomène complexe ! Pour la philosophie, elle a longtemps été considérée comme un obstacle à la raison, un frein qui empêche l’homme de se réaliser.

L’émotion n’est pas uniquement un affect !

On sait aujourd’hui que l’émotion n’est pas univoque, mais recouvre au contraire plusieurs dimensions. L’émotion est avant tout un affect, positif ou négatif, que l’on ressent suite à un élément déclencheur. Mais elle se traduit aussi sur notre corps par des réactions physiologiques naturelles et automatiques. Cette dimension physiologique prépare notre corps à l’action : l’émotion provoque un comportement particulier.

L’émotion est aussi cognitive !

Les émotions agissent sur notre corps, mais également sur notre esprit ! Lorsque je perçois un élément déclencheur qui provoque une émotion, en plus des réactions physiologiques et comportementales, se met en place, automatiquement, une évaluation cognitive. C’est-à-dire que j’analyse la nature et l’intensité du stimulus et de mon émotion, ce qui me permettra d’influer et d’ajuster ma réponse comportementale.

Extrait de : Apprendre à gérer ses émotions – Accueillir ce qui nous traverse paru dans PSYCHO et connaissance de soi Hors Série

Haut potentiel, surdoué, zèbre … qu’est-ce que c’est ?

De nombreuses dénominations

Les termes employés pour nommer les personnes ayant une « intelligence supérieure à la moyenne » sont à l’image des personnes concernées : multiples et complexe. Aucun d’eux ne semble parfaitement approprié, car le phénomène est aussi compliqué que le concept d’intelligence même. Aujourd’hui, la plupart utilisent le terme « haut potentiel ».

Un sujet mouvant dans l’histoire

Etrangement, les sciences humaines et les recherches scientifiques ne se sont réellement penchées que la question du surdoué que très récemment. De nombreuses études ont maintenant vu le jour et des livres et des articles fleurissent sur la question. Cependant, les stéréotypes ont la vie dure et les clichés persistent.

Plus « différent » que « supérieur »

Ce sur quoi tout le monde s’accorde aujourd’hui, c’est qu’être surdoué n’est pas qu’une caractéristique intellectuelle, une supériorité cognitive, mais bien plus une myriade de spécificités de fonctionnement. Particularité émotionnelle, comportementale, de système logique ; le champ est large et chaque point ne s’applique pas à chaque haut potentiel.

Extrait de : Adulte, Surdoué Comprendre et utiliser son potentiel paru dans Conseils et astuces PSYCHO Hors Série

Les Quatre Accords Toltèques

Comme annoncé par Don Miguel Ruiz dans l’ouvrage : Les Quatre Accords Toltèques, appliquez ces quatre principes.

– Que votre parole soit impeccable

– Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle

– Ne faites pas de suppositions

– Faites toujours de votre mieux

Ces principes peuvent paraîtres logiques et même facile à vivre, mettre en place, mais la vie étant ce qu’elle est, il s’avère bien plus complexe de le réaliser à tous les moments de sa vie.

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